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Blog gérontologique de Richard Lefrançois - Un forum de discussion et d'échange sur les enjeux et les défis de la vieillesse et du vieillissement
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  • Richard Lefrançois
  • Retraité et professeur associé (Université de Sherbrooke, Québec), Sociologue, gérontologue
  • Retraité et professeur associé (Université de Sherbrooke, Québec), Sociologue, gérontologue

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Archives Des Six Derniers Mois

30 septembre 2010 4 30 /09 /septembre /2010 07:43

  image                                                                                                 Il était une fois un très vieux bûcheron nommé Yoshida qui vivait auprès de sa très vieille femme, Fumi. Ils habitaient tous deux, pleinement heureux, dans l'île sacrée de Miya Jima, couverte de pins et d'érables. Un des plus beaux paysages du Japon. Nul n'avait le droit de mourir ici. Ils avaient connu de grandes joies lors de la naissance de leurs trois enfants. De grandes peines aussi. Mais la solitude et la vieillesse les avaient gagnés, ils étaient ridés et secs comme ces vieux troncs que l'on rencontre dans la forêt.

                                                                         
Un jour, par un clair soleil d'automne, Yoshida se dirigea vers la forêt et se promena dans ce lieu qu'il avait tant fréquenté autrefois. Il n'avait jamais prêté attention à cette fontaine. Puisant un peu de son eau limpide, il la porta à ses lèvres.
Miracle! voici que ses cheveux redevinrent noirs, que son visage perdit ses rides, que les forces passées lui revinrent. Yoshida reconnut le solide jeune homme qu'il avait été. Il avait bu, sans le savoir, l'eau de la Fontaine de Jouvence.                                                                                                                                            


Il se hâta vers sa maison où l'attendait Fumi. Lorsqu'elle vit entrer ce beau jeune homme qu'elle avait connu, elle poussa un cri de surprise. Yoshida la rassura et lui expliqua son aventure. C'était décidé. Elle irait aussi boire l'eau de la Fontaine de Jouvence.

Le lendemain, tôt le matin, elle se dirigea vers la source. Yoshida garda la maison. Le temps passa. Yoshida commença à s'inquiéter. Au bout d'un certain temps, il partit à sa recherche. Il arriva à la source. Personne. Il s'apprêta à rentrer lorsqu'un bruit lui fit tourner la tête. Il s'agissait d'une vague plainte. Yoshida s'approcha de l'endroit d'où venait le bruit. Caché par les hautes herbes qui entouraient la source, il aperçut un tout petit enfant à peine âgé de quelques mois. Trop jeune pour pouvoir parler, il tendit ses bras vers Yoshida d'un air désespéré. Dans ses yeux, le bûcheron crut reconnaître le regard de celle qu'il avait tant aimée. Oui, ce petit enfant était Fumi. Fumi qui, dans sa soif d'éternelle jeunesse, avait tant bu l'eau de la source qu'elle était devenue un nourrisson.

 

Yoshida attacha la fillette sur son dos comme le font les Japonaises de cette époque et rentra chez lui avec la pensée qu'il devrait, à l'avenir, protéger et éduquer celle qui fut jadis sa compagne.

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19 septembre 2010 7 19 /09 /septembre /2010 02:09

 

SOURCE: Radio-Canada.ca avec Presse canadienne

Mise à jour le lundi 23 août 2010 à 12 h 28

 

Le vieillissement de la population semble être le principal facteur d'inquiétude des Canadiens par rapport à leur système de santé, selon un sondage en ligne publié lundi par l'Association médicale canadienne (AMC).

L'arrivée massive des baby-boomers à l'âge de la retraite fait craindre une baisse de la qualité du système public à 80 % des répondants à ce sondage mené par la firme Ipsos Reid. Une proportion presque identique, soit 79 %, croit que le niveau de couverture ne sera pas le même pour tous.

Dans une proportion de 76 %, les répondants s'attendent à des taxes et à des impôts supplémentaires pour maintenir le niveau des services en santé. Par ailleurs, 72 % des Canadiens ont peur de manquer d'argent pour vieillir en bonne santé, une inquiétude qui dépasse celle concernant la capacité financière de prendre sa retraite (68 %) et celle de perdre son emploi (38 %).

De façon générale, seuls 35 % des répondants prévoient une amélioration des services de santé avec le temps au Canada, tandis que 51 % croient que leur qualité empirera. Dans ce contexte, près de 85 % des répondants souhaitent que les gouvernements fédéral, provinciaux et municipaux négocient de nouvelles ententes sur la santé.

Selon le rapport annuel sur la santé des Canadiens de l'AMC, les adultes de moins de 46 ans sont plus à risque de voir le coût du système de santé augmenter que les baby-boomers. Le sondage Ipsos Reid indique que les jeunes adultes sont plus préparés à acheter des assurances et à puiser dans leur fonds de retraite pour payer leurs soins médicaux.

Le sondage en ligne Ipsos Reid a été effectué en juin auprès de 3483 répondants. Il comporte une marge d'erreur de 1,66 point de pourcentage, 19 fois sur 20.

 

COMMENTAIRES

Il ne sert à rien de culpabiliser en pointant du doigt une cohorte d’individus. Pour parvenir à un meilleur contrôle des dépenses publiques en santé, nous devons améliorer sans relâche notre système de prestation de soins tout en poursuivant les efforts pour comprimer les coûts en santé, SANS pour autant sacrifier la qualité des services.

 

Ce débat qui perdure doit être élargi, mis en perspective. Le vieillissement démographique (l’allongement de l’espérance de vie étant une conquête de la civilisation) occasionne nécessairement un surcoût en santé, mais pas aussi élevé qu’on nous le laisse croire. Les médias ont tendance à magnifier les problèmes.

 

En revanche, il faut voir que la réduction de la natalité  (ce qui est compatible avec les valeurs modernes et la nécessité d’un plafonnement démographique à l’échelle planétaire) représente moins de dépenses en éducation.

 

Puis, ne perdons pas de vue que la santé est l’ultime bien.

 

Faire face au défi du vieillissement démographique et des dépenses accrues en santé demande du courage politique pour initier les réformes nécessaires en matière de prévention sanitaire, comme la lutte contre la malbouffe et la sédentarité, sans oublier la précarité sociale et économique. 

 

Il importe de susciter un nouvel éthos du bien-être et du bonheur. Ce qui signifie de responsabiliser davantage les citoyens vis à vis de leur santé et de leurs ambitions de vie, de promouvoir des alternatives novatrices en santé comme les coopératives, de créer des structures bureaucratiques plus souples, légères et efficaces comportant un véritable système de reddition de compte, d’alléger l’appareil de soins, d’accroître l’accessibilité, de fournir des médecins de famille à un plus grand nombre de citoyens et de former les médecins pour qu’ils aient une approche globale de la santé.  Qu’attendons-nous pour passer à l’action?

 

Richard Lefrançois

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18 septembre 2010 6 18 /09 /septembre /2010 03:14

 

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17 septembre 2010 5 17 /09 /septembre /2010 15:32

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Un roi chevauchait la plus fougueuse de ses montures lorsqu'il rencontra sur le bord du chemin un vieillard courbé qui plantait des arbres fruitiers. II arrêta son cheval et l'observa.

 

  «Tes cheveux, lui dit-il, sont blancs comme le lait. Il ne te reste pas longtemps à vivre et je m'étonne que tu plantes encore des arbres dont tu ne verras jamais les fruits.»

 

   Surpris par une telle remarque, le vieillard regarda longuement le roi avant de se décider à parler.

 

    «Mes ancêtres, finit-il par répondre, ont planté des arbres afin que je puisse en récolter les fruits. C'est la raison pour laquelle j'en plante à mon tour pour ceux qui me succèderont. Ton père fit de même puisqu'il s'attacha à la mise en valeur du pays jusqu'à sa mort. En poursuivant son oeuvre, depuis que tu es sur le trône, tu ne fais, comme moi, que préparer l'avenir.»

 

    La réponse plut au roi. Il sourit, plongea la main dans sa poche et en tira une poignée de pièces d'or qu'il tendit au vieillard.

 

«Prends-les, lui dit-il, elles sont à toi.»

   

«Mon travail n'aura pas été vain, s'exclama le vieillard en les acceptant, puisque j'en tire immédiatement profit. Mes arbres ont rapidement produit leurs fruits.»

 

    Le roi apprécia beaucoup ces mots pleins de sagesse et il offrit alors au vieillard des terres et de quoi les irriguer.

 

Par Antine@ - Publié dans : Textes d'auteurs - Communauté : A fleur de peau

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11 septembre 2010 6 11 /09 /septembre /2010 02:31

Lefrançois, Richard
Collaboration spéciale

 

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Pour sécuriser davantage notre réseau routier de plus en plus complexe et achalandé, Transports Québec allouera 100 millions $ sur dix ans pour remplacer, normaliser et entretenir les quelque 40 000 panneaux de signalisation qui surplombent et longent nos routes.

 

Dotés d'une pellicule rétroréfléchissante et d'une police de caractère plus lisible, ces outils de communication dernier cri sont plus efficaces pour faciliter le repérage et la lecture des indications.

 

Or, pourquoi certains commentateurs ont-ils désapprouvé d'un revers de main ce projet, avant même de prendre connaissance des faits? Comment également ne pas s'indigner que certains journalistes aient récupéré cet événement pour ironiser sur les automobilistes âgés?

 

Réaction des médias

Dans son communiqué, Transports Québec précise que cette amélioration profitera à tous. On ne fait pas spécifiquement allusion au vieillissement des usagers, même si les aînés seront les premiers à en bénéficier.

 

Pourtant, cette mesure a servi de prétexte à certains commentateurs pour stigmatiser les automobilistes âgés. Certains ont en effet fait preuve de "dérapage", "d'inconduite déroutante" et d'âgisme en exagérant les déficits visuels des automobilistes plus âgés, ou la lenteur de leurs réactions, et en proclamant sans discernement leur soi-disant incompétence au volant.

 

Citons quelques déclarations irrespectueuses, parmi tant d'autres, glanées dans les journaux et sur la toile: "Non seulement les automobilistes âgés ont-ils la vue diminuée, mais on peut se demander s'ils sont toujours à leur place sur les routes". "Le conducteur moyen vieillit et voit moins bien. Il pourrait changer de lunettes ou s'en acheter, ou bien lâcher le volant pour se laisser conduire". Pire encore: "Tant qu'à adapter nos routes en fonction du vieillissement de la population, adaptons! Il faut augmenter le nombre de haltes routières, car il n'y a pas que la mémoire qui est lâche en vieillissant, la prostate aussi (...) ".

 

Ces stéréotypes envers les aînés détonnent et ces remarques méprisantes et disgracieuses heurtent. On est décidément à mille lieues de la perception de l'aîné comme citoyen à part entière!

 

Par ailleurs, des représentants des partis d'opposition et du Syndicat de la fonction publique sont d'avis que la vétusté de la signalisation routière représente une dangerosité moindre que d'autres éléments clés de nos infrastructures routières. "Qui se plaint de l'illisibilité des panneaux pour qu'il apparaisse justifié de se lancer dans une telle dépense?" s'interroge un observateur.

 

Enfin, on sait que depuis la fermeture du Centre de signalisation géré par l'État, la confection des panneaux est désormais confiée au secteur privé. Voilà qui ravive les soupçons de favoritisme qui prévaudrait au ministère concerné dans l'attribution des contrats. Ceux qui fondent leur argumentation critique sur ce point font trop facilement écho à la méfiance actuelle des citoyens vis-à-vis de toute initiative étatique majeure.

 

Bilan et réforme du réseau routier

Cette discussion nous introduit au coeur du débat. Le renouvellement des panneaux de signalisation, ou toute autre mesure préventive, sont-ils devenus nécessaires considérant notre bilan routier et le vieillissement démographique?

 

Selon la SAAQ, nonobstant l'augmentation des véhicules et des détenteurs de permis, le nombre de victimes d'accidents routiers est en chute constante depuis dix ans. Les moins de 35 ans assombrissent toutefois ce bilan, étant plus impliqués dans des accidents (60 en moyenne pour 1000 titulaires de permis) que les 55 ans et plus (25 accidents en moyenne). Cependant, à kilométrage égal, les risques de collision grimpent en flèche à partir de 80 ans, les automobilistes plus âgés rejoignant alors la performance des conducteurs de moins de 25 ans.

 

À première vue, le renouvellement de la signalisation est une intervention bien timide comparée à d'autres facteurs de dangerosité, tels la vitesse excessive, le dépassement interdit, les manoeuvres dangereuses, la conduite en état d'ébriété et le car surfing. Il n'empêche que certains arguments militent en faveur de cette cure de rajeunissement.

 

D'abord, il serait aberrant de se soustraire à l'implantation de cette dernière génération de panneaux verts. Celle-ci s'inscrit dans le contexte des nouvelles normes de signalisation nord-américaines.

 

Ensuite, cette initiative présente un excellent rapport coût-bénéfice. Non seulement la sécurité de tous les usagers sera-t-elle accrue, mais aucun coût additionnel ne sera imputé à cette opération de remplacement. Elle s'effectuera en effet au rythme de l'usure normale des panneaux dont l'espérance de vie est d'environ douze ans.

 

Par ailleurs, même si notre bilan routier prend du mieux, force est d'admettre que la population québécoise vieillit rapidement. Concrètement, 75 % des aînés possèdent un permis et la majorité conduit régulièrement un véhicule. S'ajoute le fait que le nombre de kilomètres parcourus croît sensiblement chez cette catégorie d'usager. Une signalisation repensée et à la fine pointe de la technologie ne peut que favoriser leurs déplacements, leur sécurité et leur qualité de vie.

 

S'agissant maintenant de la performance des automobilistes aînés, la consommation de certains médicaments, les changements sensoriels, cognitifs et physiques, comme la fatigue et les troubles de la mémoire procédurale, peuvent altérer sensiblement l'aptitude à conduire de façon sécuritaire. L'avance en âge s'accompagne d'une acuité visuelle et périphérique réduite, surtout la nuit et par mauvais temps, même avec le port de lunettes ou de lentilles cornéennes. Pour ces raisons, maximaliser la visibilité des informations routières peut aider à compenser certains de ces déficits.

 

Enfin, ne perdons pas de vue que 138 808 accidents routiers sont survenus au Québec l'an dernier! Même si la signalisation n'était pas nécessairement en cause dans ces fatalités, on ne peut que saluer la réforme entreprise qui renforcera la sécurité routière pour tous.

 

Bien entendu, l'on doit poursuivre la rénovation des autres composantes de notre réseau, soit l'entretien et la réfection des chaussées, l'élargissement des bretelles d'accès ou de sortie des autoroutes ou la reconstruction des ponts ou viaducs.

 

Concluons sur une note encourageante: notre performance routière progresse et nous peaufinons notre réseau routier. Cela dit, Transports Québec pourrait envisager d'autres avenues pour rendre plus efficace encore la signalisation. Il y aurait lieu par exemple d'optimiser l'emplacement des panneaux en fonction du temps de reconnaissance plus long que requièrent les automobilistes âgés, puis rendre plus clairs les messages et enfin les écourter.

 

Note(s) :

Richard Lefrançois est professeur associé à l'Université de Sherbrooke.
http://tribune-age.over-blog.com/

Illustration(s) :

Archives La Tribune, Jessica Garneau
Transports Québec allouera 100 millions $ sur dix ans pour remplacer, normaliser et entretenir les quelque 40 000 panneaux de signalisation qui surplombent et longent les routes.

(c) 2010 La Tribune (Sherbrooke, Qc). Tous droits réservés.

Numéro de document : news·20100911·TB·0029

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10 septembre 2010 5 10 /09 /septembre /2010 17:38

La-vieillesse

 

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9 septembre 2010 4 09 /09 /septembre /2010 20:48

La Tribune (Sherbrooke, Qc)
Opinions, samedi, 4 septembre 2010, p. 19
Les grands enjeux


NDLR - Chaque samedi en page éditoriale, nous publierons un texte d'analyse écrit par un spécialiste de l'Université de Sherbrooke sur des grands enjeux de société qui nous préoccupent. Nous toucherons de nombreuses questions concernant l'immigration, le vieillissement de la population, les finances publiques et la politique américaine.

 

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MICHÈLE VATZ-LAAROUSSI

Professeure au département de service social de l'Université de Sherbrooke, Michèle Vatz-Laaroussi effectue des recherches sur l'immigration, les politiques d'accueil et les stratégies d'intégration des familles depuis une vingtaine d'années. Elle a créé le Réseau international de recherche sur l'immigration en dehors des grands centres, est membre du Centre des études ethniques des Universités de Montréal (CEE TUM) et co-dirige le domaine "collectivités d'accueil" pour le Centre Métropolis du Québec. Elle participe aussi au programme de maîtrise en médiation interculturelle de l'Université de Sherbrooke.

 

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RICHARD LEFRANÇOIS

Professeur associé à l'Université de Sherbrooke, le sociologue Richard Lefrançois connaît une nouvelle carrière publique comme spécialiste en gérontologie. Lui-même pré-boomer, il a publié plusieurs ouvrages, dont les plus récents sont Les nouvelles frontières de l'âge en 2004 et Vieillesses oubliées en 2009. Il prononce aussi des conférences sur le vieillissement de la population et tient un blogue à http://tribune-age.over-blog.com/

 

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LUC GODBOUT

Luc Godbout est professeur au département de sciences comptables et fiscalité de la faculté d'administration de l'Université de Sherbrooke. Il est chercheur principal en finances publiques à la Chaire de recherche en fiscalité et en finances publiques et chercheur régulier au Centre de recherche sur le vieillissement, deux établissements de l'Université de Sherbrooke. Depuis 2006, il a codirigé quatre ouvrages publiés aux Presses de l'Université Laval. Enfin, Luc Godbout commente régulièrement les finances publiques québécoises dans les médias.

 

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GILLES VANDAL

Gilles Vandal est professeur à l'Université de Sherbrooke depuis 1978 et s'est associé à l'École de politique appliquée de cette même institution en 2007. Auteur de plus de 30 articles scientifiques, dont plusieurs dans des revues internationales, Gilles Vandal s'est fait connaître comme spécialiste des États-Unis, analysant leur histoire, leurs institutions, leur système politique et la politique extérieure états-unienne. Il travaille présentement à la rédaction d'un ouvrage portant sur le président Barack Obama et sur la guerre en Afghanistan.

 

© 2010 La Tribune (Sherbrooke, Qc). Tous droits réservés.

Numéro de document : news·20100904·TB·0022

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7 septembre 2010 2 07 /09 /septembre /2010 08:40

****** AVIS *******

 

Deux nouvelles rubriques figurent maintenant
sous l’onglet
CATÉGORIES DE DOCUMENT

 

 

1.  Le CONTE est bon. Des contes, légendes et récits, la plupart sur le thème du vieillissement, pour émerveiller et sensibiliser

 

2.  HUMOUR gris. Des caricatures, croquis ou belles images pour divertir et dénoncer

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7 septembre 2010 2 07 /09 /septembre /2010 08:37

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retraite

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1.  Le CONTE est bon. Des contes, légendes et récits, la plupart sur le thème du vieillissement, pour émerveiller et sensibiliser

 

2.  HUMOUR gris. Des caricatures, croquis ou belles images pour divertir et dénoncer

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